Mes engagements sur
l'économie et le pouvoir d'achat

Je suis convaincue que l’économie doit être au service des gens et non le contraire. Les crises financières ont prouvé que les marchés financiers ne fonctionnent pas sans intervention et contrôle de l’Etat. Le scandale lié au rachat de Crédit Suisse l’a démontré encore une fois. Ce n’est pas aux travailleurs et travailleuses de payer pour les erreurs des décideurs financiers ! Notre économie devrait permettre à chacun·e qui travaille de pouvoir gagner décemment sa vie et pas à une poignée de privilégié·es de s’enrichir davantage. 

On parle toujours du succès du système économique suisse, mais ce discours a souvent tendance à cacher le revers de la médaille : environ 1 personne sur 12 est touchée par la pauvreté . Cette réalité qui ne date pas d’hier est aujourd’hui exacerbée par les conséquences économiques de la pandémie, le retour de l’inflation et les conséquences de la guerre en Ukraine. Un coup dur pour les ménages de notre pays, particulièrement pour les petits budgets qui sont toujours plus à connaître des fins de mois compliquées et n’arrivent plus à assumer l’augmentation du coût de la vie. Les crises n’ont fait que mettre en lumière les failles de notre système : certaines personnes passent au travers du filet social, elles vivent dans la précarité et parfois se retrouvent même dans la rue ou clandestin·e. Je m’engage pour renforcer le pouvoir d’achat des ménages de notre pays !

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La Suisse doit davantage réguler les marchés financiers

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Des mesures pour soulager les ménages

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Ne pas oublier les personnes qui passent entre les mailles du filet social

1. La Suisse doit davantage réguler les marchés financiers

Le secteur bancaire est défaillant. Ces défaillances relèvent de problèmes systémiques, il n’est plus acceptable d’attendre l’effondrement d’une banque avant d’agir, des mesures doivent immédiatement être prises pour réguler davantage les marchés financiers.

Comment y parvenir ?
Une vraie justice fiscale
Un impôt sur les grandes entreprises qui profite à la population
Une législation efficace

Par plus de justice fiscale, soit aucun privilège des riches par rapport aux pauvres, des personnes morales par rapport aux personnes physiques, des investisseurs ou des spéculateurs par rapport aux travailleuses et travailleurs. Les riches deviennent toujours plus riches et l’écart salarial se creuse. La législation fiscale actuelle ne touche que marginalement les hauts revenus et les grandes fortunes, cela doit changer.

Introduire un impôt minimum pour les grands groupes d’entreprises actifs à l’échelle internationale. Nous devons dire stop aux privilèges fiscaux accordés aux multinationales polluantes qui ne cherchent que la maximisation des profits. Le projet proposé par le Conseil fédéral qui introduit cette imposition ne renforce pas le pouvoir d’achat de la population équitablement dans tous les cantons. Un NON le 18 juin prochain au projet actuel permettra de trouver une solution plus sociale.

Adopter des lois efficaces pour augmenter la transparence des marchés financiers, pour interdire les bonus et renforcer des prescriptions en matière de fonds propres pour les banques d’importance systémique.

2. Des mesures pour soulager les ménages

La Suisse a enregistré un renchérissement de 3,4 % en un an selon l’Office fédéral de la statistique (OFS). Les loyers, l’essence ou encore les denrées alimentaires : tout devient plus cher, alors que les salaires stagnent, en particulier pour les petits et moyens revenus. Le pouvoir d’achat des ménages suisses diminue drastiquement, et il devient toujours plus compliqué de mener une vie digne.

Comment y parvenir ?
Une augmentation des salaires
Introduire un salaire minimum cantonal

De nouvelles hausses des salaires sont une priorité. L’indexation automatique au renchérissement doit être inscrite dans les CCT et être appliquée partout dans le public. Les salaires minimaux doivent être réévalués : personne ne doit gagner moins que 4500 CHF par mois à temps plein.

Le salaire minimum cantonal est indispensable pour que tout le monde puisse vivre avec un revenu décent.

Stopper l'explosion des primes maladie
Plus de transports publics, plus abordables
Introduire un plafond temporaire des loyers et des charges de chauffage

Augmenter la contribution de la Confédération, en collaboration avec les cantons, aux réductions individuelles des primes (initiative dite 10 % du PS).

Pas tout le monde ne peut se déplacer en transports en commun, en particulier en Valais. Cependant, compte tenu de l’augmentation des besoins de mobilité et de la nécessité du tournant énergétique, cela doit être une alternative partout où c’est possible. Le renforcement de l’offre et de l’attractivité des TP ne doit pas se faire au détriment des conditions de travail des employé-es des transports.

Les loyers et les charges de chauffage flambent. Cette réalité vaut également pour le Valais où les loyers ont augmenté sur un an de 4,6 % (Homegate, avril 2023). Les ménages consacrent toujours plus pour se loger et payer les frais de chauffage.

3. Ne pas oublier les personnes qui passent entre les mailles du filet social

Le contexte a contribué à accroître les inégalités et a laissé beaucoup de monde sans ressources. La pauvreté est une réalité en Suisse. Une part grandissante de la classe moyenne inférieure peine à s’en sortir financièrement, sans toutefois prétendre à des aides Par ailleurs, environ 150 000 personnes vivent en Suisse sans permis de séjour. Il est nécessaire d’apporter un soutien à ces personnes, de ne pas les marginaliser et les ignorer.

Comment y parvenir ?
Harmoniser l’aide sociale entre les cantons
Respecter les droits des « sans-papiers »

Les personnes qui bénéficient de l’aide sociale ne devraient pas être soumises à l’obligation de remboursement.

La plupart des « sans-papiers » ou «clandestin-e-s» sont des travailleuses et travailleurs sans statut de séjour régulier (et actifs/actives dans le nettoyage, les hôtels et restaurants, sur les chantiers, dans les transports ou dans des exploitations agricoles). Ces personnes contribuent pleinement à notre économie. Il est important de prendre en compte ces personnes,de ne pas les ignorer et de leur permettre de vivre dans des conditions dignes, notamment en les régularisant.

Je suis convaincue que l’économie doit être au service des gens et non le contraire. Les crises financières ont prouvé que les marchés financiers ne fonctionnent pas sans intervention et contrôle de l’Etat. Le scandale lié au rachat de Crédit Suisse l’a démontré encore une fois. Ce n’est pas aux travailleurs et travailleuses de payer pour les erreurs des décideurs financiers ! Notre économie devrait permettre à chacun-e qui travaille de pouvoir gagner décemment sa vie et pas à une poignée de privilégié-es de s’enrichir davantage. 

On parle toujours du succès du système économique suisse, mais ce discours a souvent tendance à cacher le revers de la médaille : environ 1 personne sur 12 est touchée par la pauvreté . Cette réalité qui ne date pas d’hier est aujourd’hui exacerbée par les conséquences économiques de la pandémie, le retour de l’inflation et les conséquences de la guerre en Ukraine. Un coup dur pour les ménages de notre pays, particulièrement pour les petits budgets qui sont toujours plus à connaître des fins de mois compliquées et n’arrivent plus à assumer l’augmentation du coût de la vie. Les crises n’ont fait que mettre en lumière les failles de notre système : certaines personnes passent au travers du filet social, elles vivent dans la précarité et parfois se retrouvent même dans la rue ou clandestin-e. Je m’engage pour renforcer le pouvoir d’achat des ménages de notre pays !

1. La Suisse doit davantage réguler les marchés financiers
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Le secteur bancaire est défaillant. Ces défaillances relèvent de problèmes systémiques, il n’est plus acceptable d’attendre l’effondrement d’une banque avant d’agir, des mesures doivent immédiatement être prises pour réguler davantage les marchés financiers.

Comment y parvenir ?
Une vraie justice fiscale

Par plus de justice fiscale, soit aucun privilège des riches par rapport aux pauvres, des personnes morales par rapport aux personnes physiques, des investisseurs ou des spéculateurs par rapport aux travailleuses et travailleurs. Les riches deviennent toujours plus riches et l’écart salarial se creuse. La législation fiscale actuelle ne touche que marginalement les hauts revenus et les grandes fortunes, cela doit changer.

Un impôt sur les grandes entreprises qui profite à la population

Introduire un impôt minimum pour les grands groupes d’entreprises actifs à l’échelle internationale. Nous devons dire stop aux privilèges fiscaux accordés aux multinationales polluantes qui ne cherchent que la maximisation des profits. Le projet proposé par le Conseil fédéral qui introduit cette imposition ne renforce pas le pouvoir d’achat de la population équitablement dans tous les cantons. Un NON le 18 juin prochain au projet actuel permettra de trouver une solution plus sociale.

Une législation efficace

Adopter des lois efficaces pour augmenter la transparence des marchés financiers, pour interdire les bonus et renforcer des prescriptions en matière de fonds propres pour les banques d’importance systémique.

2. Des mesures pour soulager les ménages
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La Suisse a enregistré un renchérissement de 3,4 % en un an selon l’Office fédéral de la statistique (OFS). Les loyers, l’essence ou encore les denrées alimentaires : tout devient plus cher, alors que les salaires stagnent, en particulier pour les petits et moyens revenus. Le pouvoir d’achat des ménages suisses diminue drastiquement, et il devient toujours plus compliqué de mener une vie digne.

Comment y parvenir ?
Une augmentation des salaires

De nouvelles hausses des salaires sont une priorité. L’indexation automatique au renchérissement doit être inscrite dans les CCT et être appliquée partout dans le public. Les salaires minimaux doivent être réévalués : personne ne doit gagner moins que 4500 CHF par mois à temps plein.

Introduire un salaire minimum cantonal

Le salaire minimum cantonal est indispensable pour que tout le monde puisse vivre avec un revenu décent.

Stopper l'explosion des primes maladie

Augmenter la contribution de la Confédération, en collaboration avec les cantons, aux réductions individuelles des primes (initiative dite 10 % du PS).

Plus de transports publics, plus abordables

Pas tout le monde ne peut se déplacer en transports en commun, en particulier en Valais. Cependant, compte tenu de l’augmentation des besoins de mobilité et de la nécessité du tournant énergétique, cela doit être une alternative partout où c’est possible. Le renforcement de l’offre et de l’attractivité des TP ne doit pas se faire au détriment des conditions de travail des employé-es des transports.

Introduire un plafond temporaire des loyers et des charges de chauffage

Les loyers et les charges de chauffage flambent. Cette réalité vaut également pour le Valais où les loyers ont augmenté sur un an de 4,6 % (Homegate, avril 2023). Les ménages consacrent toujours plus pour se loger et payer les frais de chauffage.

3. Ne pas oublier les personnes qui passent entre les mailles du filet social
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Le contexte a contribué à accroître les inégalités et a laissé beaucoup de monde sans ressources. La pauvreté est une réalité en Suisse. Une part grandissante de la classe moyenne inférieure peine à s’en sortir financièrement, sans toutefois prétendre à des aides Par ailleurs, environ 150 000 personnes vivent en Suisse sans permis de séjour. Il est nécessaire d’apporter un soutien à ces personnes, de ne pas les marginaliser et les ignorer.

Comment y parvenir ?
Harmoniser l’aide sociale entre les cantons

Les personnes qui bénéficient de l’aide sociale ne devraient pas être soumises à l’obligation de remboursement.

Respecter les droits des « sans-papiers »

La plupart des « sans-papiers » ou «clandestin-e-s» sont des travailleuses et travailleurs sans statut de séjour régulier (et actifs/actives dans le nettoyage, les hôtels et restaurants, sur les chantiers, dans les transports ou dans des exploitations agricoles). Ces personnes contribuent pleinement à notre économie. Il est important de prendre en compte ces personnes,de ne pas les ignorer et de leur permettre de vivre dans des conditions dignes, notamment en les régularisant.

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