Mes engagements sur le
féminisme

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Depuis mes débuts en politique, l’égalité est au centre de mon engagement. Je suis convaincue qu’une société plus égalitaire profitera à toutes les personnes qui la composent. Je m’engage en particulier pour que toutes les femmes puissent bénéficier des mêmes chances tout au long de leur vie. Vous trouverez ci-dessous un aperçu de mes principaux combats en matière d’égalité pour que chacune et chacun puisse vivre dignement et librement en Suisse. 



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Pour des moyens financiers égaux, tout au long de la vie

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Conciliation vies privée et professionnelle

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Stop aux violences sexistes et sexuelles

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Reconnaissance du travail du care

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Une solidarité avec les femmes du monde entier et avec les migrant·e·s en Suisse

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Une éducation qui n’a pas de genre  

1. Pour des moyens financiers égaux, tout au long de la vie

Il n’est plus acceptable que les femmes gagnent toujours en moyenne 20 % de moins que les hommes. L’égalité salariale ne doit plus juste être un objectif mais une réalité.

Comment y parvenir ?
Pour un contrôle dans toutes les entreprises et des sanctions économiques et administratives
Un deuxième pilier dès le 1er franc !
Suppression de la déduction de coordination de la LPP

En voyant l’âge de  leur retraite augmenter, les femmes de notre pays se sont pris une claque en septembre dernier. Encore une fois, nous avons choisi de faire des économies sur le dos des personnes les plus défavorisées et qui subissent des discriminations pendant toute la durée de leurs vies actives (inégalités salariales, difficultés d’accéder à certains postes, emplois à temps partiel qui réduisent les chances d’une retraite décente…). Il est urgent de repenser notre système de prévoyance vieillesse pour qu’il soit plus égalitaire.

Actuellement, le salaire assuré par le deuxième pilier commence à partir d’environ 25’000.- par année. Or, beaucoup de femmes n’y ont jamais accès et ne cotisent pas durant de longues années, car elles occupent souvent des emplois à temps partiels pour pouvoir assurer conjointement la bonne marche de leur foyer et l’éducation de leurs enfants. Idem pour les femmes qui occupent plusieurs petits emplois à temps partiel pour s’en sortir. À la retraite, ces femmes épuisées qui ont travaillé toute leur vie se retrouvent avec un avoir prévoyance misérable, voire aucun. Il est temps que cela change !



2. Conciliation vies privée et professionnelle

Il s’agit là, certes, d’une nécessité pour les parents, mais la conciliation vie privée et vie professionnelle profite aussi à l’économie. L’accueil extrafamilial doit être pensé pour toutes et tous et non pour une minorité disposant de bons revenus. Aucun couple ne devrait renoncer à avoir des enfants pour des raisons financières ou organisationnelles.

Comment y parvenir ?

Le congé parental
Pour des places de crèche de qualité, abordables et pour toutes les familles
Favorisation du temps partiel dans tous les domaines et réduction du temps de travail

Un congé parental flexible et égalitaire qui permet de laisser le libre choix aux parents du modèle familial souhaité est une priorité. 

Mieux concilier la famille et le travail favorise la relation entre parents et enfants ainsi que l’égalité entre les femmes et les hommes. Ambitieuse, progressiste et sociale, une mesure de politique familiale s’adresse à toutes les familles, y compris homoparentales, monoparentales ou adoptantes.



Pour de nombreuses familles, les places en crèche restent beaucoup trop chères. Pour pallier cela, la plupart  du temps, ce sont les femmes qui abandonnent leur carrière pour s’occuper de l’éducation. L’initiative pour les crèches du PS Suisse veut offrir plus de places d’accueil afin d’équilibrer la vie familiale et professionnelle. Cette initiative prend également en compte les conditions de travail et de salaire des employé·e·s des structures d’accueil et souhaite les améliorer.



Le droit du travail actuel ne contient que très peu de dispositions permettant la conciliation entre la vie privée et la vie professionnelle et ce, pour les femmes et pour les hommes.

La favorisation du temps partiel pour les femmes et pour les hommes permet une meilleure répartition du travail domestique. Il s’agit de valoriser cette pratique pour tous les emplois, pas uniquement pour les emplois non-qualifiés comme c’est le cas aujourd’hui.

La réduction du temps de travail global et l’introduction de la semaine de 4 jours sans diminution des salaires est une solution qui permettrait de lutter contre l’épuisement professionnel et de dégager plus de temps pour la vie sociale et privée. Une telle mesure favorise encore le partage des tâches éducatives et du foyer.





3. Stop aux violences sexistes et sexuelles

La violence à l’égard des femmes et la violence domestique causent de grandes souffrances. En moyenne, une femme meurt des suites de telles violences toutes les deux semaines et demie. Les estimations parlent de 27 000 enfants concernés chaque année par la violence domestique*.



4. Reconnaissance du travail du care

Le travail de care non rémunéré a des conséquences négatives pour la carrière professionnelle et la protection sociale des personnes qui le fournissent. Celui-ci limite les possibilités de partage du travail entre femmes et hommes. Nous parlons bien de plus de 2289 millions d’heures de travail non payé par année** !
Et pour la plupart de ces heures, ce sont les femmes qui les réalisent en grande majorité.

Comment y parvenir ?
Comment y parvenir ?

Mise en œuvre complète de la Convention d’Istanbul, stratégie nationale contre la violence à l’égard des femmes, création d’un observatoire de la violence à l’égard des femmes et garantie d’une formation suffisante des corps de police et des membres des forces de l’ordre dans le domaine de la violence à l’égard des femmes et de la violence domestique. Ces mesures pragmatiques posent les premiers jalons d’une lutte efficace et accrue contre tous types de violences sexistes et sexuelles. La formation des soignant·e·s et du personnel éducatif au sujet de ce genre de violences doit également être améliorée.



Les activités de soins et de garde non rémunérées doivent être reconnues par les entreprises, la société et les politiques sociales. Ces heures doivent être considérées comme activité économique à part entière.

5. Une solidarité avec les femmes du monde entier et avec les migrant·e·s en Suisse
6. Une éducation qui n’a pas de genre

Le féminisme doit être inclusif, intersectionnel et solidaire. Partout dans le monde, des femmes subissent des discriminations en raison de leur genre, mais également de leur classe sociale et de leur couleur de peau.

L’école doit devenir un lieu où les discriminations liées aux identités de genre n’ont pas leur place et où les enfants apprennent l’égalité, le respect, le consentement et l’autonomie.

Comment y parvenir ?
Comment y parvenir ?

En Suisse, nous devons être solidaires avec toutes les femmes et lutter contre tous les systèmes d’oppression. Les femmes migrantes en Suisse subissent de multiples discriminations et n’ont parfois pas accès à la justice ou à certaines aides, notamment de type social. Nous devons apporter des solutions qui profitent à toutes les femmes vivant en Suisse et soutenir financièrement et socialement les femmes qui souffrent le plus de notre société patriarcale.

En mettant en place un modèle pédagogique féministe et solidaire notamment. Ainsi, une meilleure formation des enseignant·e·s et des intervenant·e·s dans les milieux scolaires, une meilleure représentation de la pluralité de modèles féminins et féministes dans les programmes éducatifs peuvent diminuer de manière drastique les discriminations liées aux identités de genre.

Depuis mes débuts en politique, l’égalité est au centre de mon engagement. Je suis convaincue qu’une société plus égalitaire profitera à toutes les personnes qui la composent. Je m’engage en particulier pour que toutes les femmes puissent bénéficier des mêmes chances tout au long de leur vie. Vous trouverez ci-dessous un aperçu de mes principaux combats en matière d’égalité pour que chacune et chacun puisse vivre dignement et librement en Suisse. 



1. Pour des moyens financiers égaux, tout au long de la vie
https://sarahconstantin.ch/wp-content/uploads/2023/03/icons8-sac-dargent-100-3.png

Il n’est plus acceptable que les femmes gagnent toujours en moyenne 20 % de moins que les hommes. L’égalité salariale ne doit plus juste être un objectif mais une réalité.

Comment y parvenir ?
Pour un contrôle dans toutes les entreprises et des sanctions économiques et administratives

En voyant l’âge de leur retraite augmenter, les femmes de notre pays se sont pris une claque en septembre dernier. Encore une fois, nous avons choisi de faire des économies sur le dos des personnes les plus défavorisées et qui subissent des discriminations pendant toute la durée de leurs vies actives (inégalités salariales, difficultés d’accéder à certains postes, emplois à temps partiel qui réduisent les chances d’une retraite décente…). Il est urgent de repenser notre système de prévoyance vieillesse pour qu’il soit plus égalitaire.

Un deuxième pilier dès le 1er franc !
Suppression de la déduction de coordination de la LPP

Actuellement, le salaire assuré par le deuxième pilier commence à partir d’environ 25’000.- par année. Or, beaucoup de femmes n’y ont jamais accès et ne cotisent pas durant de longues années, car elles occupent souvent des emplois à temps partiels pour pouvoir assurer conjointement la bonne marche de leur foyer et l’éducation de leurs enfants. Idem pour les femmes qui occupent plusieurs petits emplois à temps partiel pour s’en sortir. À la retraite, ces femmes épuisées qui ont travaillé toute leur vie se retrouvent avec un avoir prévoyance misérable, voire aucun. Il est temps que cela change !



2. Conciliation vies privée et professionnelle
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Il s’agit là, certes, d’une nécessité pour les parents, mais la conciliation vie privée et vie professionnelle profite aussi à l’économie. L’accueil extrafamilial doit être pensé pour toutes et tous et non pour une minorité disposant de bons revenus. Aucun couple ne devrait renoncer à avoir des enfants pour des raisons financières ou organisationnelles.

Comment y parvenir ?
Le congé parental

Un congé parental flexible et égalitaire qui permet de laisser le libre choix aux parents du modèle familial souhaité est une priorité. 

Mieux concilier la famille et le travail favorise la relation entre parents et enfants ainsi que l’égalité entre les femmes et les hommes. Ambitieuse, progressiste et sociale, une mesure de politique familiale s’adresse à toutes les familles, y compris homoparentales, monoparentales ou adoptantes.

Crèches : pour des places de crèche de qualité, abordables et pour toutes les familles

Pour de nombreuses familles, les places en crèche restent beaucoup trop chères. Pour pallier cela, la plupart  du temps, ce sont les femmes qui abandonnent leur carrière pour s’occuper de l’éducation. L’initiative pour les crèches du PS Suisse veut offrir plus de places d’accueil afin d’équilibrer la vie familiale et professionnelle. Cette initiative prend également en compte les conditions de travail et de salaire des employé·e·s des structures d’accueil et souhaite les améliorer.

Favorisation du temps partiel dans tous les domaines et réduction du temps de travail

Le droit du travail actuel ne contient que très peu de dispositions permettant la conciliation entre la vie privée et la vie professionnelle et ce, pour les femmes et pour les hommes.

La favorisation du temps partiel pour les femmes et pour les hommes permet une meilleure répartition du travail domestique. Il s’agit de valoriser cette pratique pour tous les emplois, pas uniquement pour les emplois non-qualifiés comme c’est le cas aujourd’hui.

La réduction du temps de travail global et l’introduction de la semaine de 4 jours sans diminution des salaires est une solution qui permettrait de lutter contre l’épuisement professionnel et de dégager plus de temps pour la vie sociale et privée. Une telle mesure favorise encore le partage des tâches éducatives et du foyer.

3. Stop aux violences sexistes et sexuelles
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La violence à l’égard des femmes et la violence domestique causent de grandes souffrances. En moyenne, une femme meurt des suites de telles violences toutes les deux semaines et demie. Les estimations parlent de 27 000 enfants concernés chaque année par la violence domestique*.

Comment y parvenir ?

Mise en œuvre complète de la Convention d’Istanbul, stratégie nationale contre la violence à l’égard des femmes, création d’un observatoire de la violence à l’égard des femmes et garantie d’une formation suffisante des corps de police et des membres des forces de l’ordre dans le domaine de la violence à l’égard des femmes et de la violence domestique. Ces mesures pragmatiques posent les premiers jalons d’une lutte efficace et accrue contre tous types de violences sexistes et sexuelles. La formation des soignant·e·s et du personnel éducatif au sujet de ce genre de violences doit également être améliorée.

4. Reconnaissance du travail du care
https://sarahconstantin.ch/wp-content/uploads/2023/03/icons8-aide-sociale-100.png

Le travail de care non rémunéré a des conséquences négatives pour la carrière professionnelle et la protection sociale des personnes qui le fournissent. Celui-ci limite les possibilités de partage du travail entre femmes et hommes. Nous parlons bien de plus de 2289 millions d’heures de travail non payé par année** !
Et pour la plupart de ces heures, ce sont les femmes qui les réalisent en grande majorité.

Comment y parvenir ?

Les activités de soins et de garde non rémunérées doivent être reconnues par les entreprises, la société et les politiques sociales. Ces heures doivent être considérées comme activité économique à part entière.

5. Une solidarité avec les femmes du monde entier et avec les migrant·e·s en Suisse
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Le féminisme doit être inclusif, intersectionnel et solidaire. Partout dans le monde, des femmes subissent des discriminations en raison de leur genre, mais également de leur classe sociale et de leur couleur de peau.

Comment y parvenir ?

En Suisse, nous devons être solidaires avec toutes les femmes et lutter contre tous les systèmes d’oppression. Les femmes migrantes en Suisse subissent de multiples discriminations et n’ont parfois pas accès à la justice ou à certaines aides, notamment de type social. Nous devons apporter des solutions qui profitent à toutes les femmes vivant en Suisse et soutenir financièrement et socialement les femmes qui souffrent le plus de notre société patriarcale.

6. Une éducation qui n’a pas de genre
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L’école doit devenir un lieu où les discriminations liées aux identités de genre n’ont pas leur place et où les enfants apprennent l’égalité, le respect, le consentement et l’autonomie.

Comment y parvenir ?

En mettant en place un modèle pédagogique féministe et solidaire notamment. Ainsi, une meilleure formation des enseignant·e·s et des intervenant·e·s dans les milieux scolaires, une meilleure représentation de la pluralité de modèles féminins et féministes dans les programmes éducatifs peuvent diminuer de manière drastique les discriminations liées aux identités de genre.

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